Réceptions et discussions des
livres et publications de Victor et Victoria Trimondi
dans les médias francophones:
Le Tibet et le Dalai
Lama
Extrait du FORUM » France 2 » (2015/2016) sur
« L’ombre du Dalaï
Lama - sexualité, magie et politique dans le bouddhisme
tibétain »
Détails l’arrière-plan cultique du bouddhisme
tibétain et de son leader clérical, le Dalaï-lama. Dans ce travail original
d’analyse, d’interprétation et de critique, les auteurs fournissent des
informations factuelles surprenantes, auparavant largement ignorées ; ils
entreprennent aussi une interprétation philosophiquement bien fondée du
lamaïsme, rendant la vision du monde tibétaine-bouddhiste compréhensible
pour les lecteurs occidentaux par une comparaison avec les traditions
religieuses européennes. V. et V. Trimondi ont
réussi à combiner l’histoire, la politique, la religion et la psychologie
dans une impressionnante présentation historico-culturelle. L’édition allemande
du livre a été publiée par le groupe Patmos (Düsseldorf et Zurich) au
printemps de 1999. Le groupe Patmos est composé de quatre des plus
honorables éditeurs en langue allemande (Walter; Benzinger;
Artemis and Winkler;
Patmos) et est spécialisé dans les domaines de la psychologie, de la
mythologie, des religions comparées, de l’antiquité classique, de la
littérature mondiale, de l’analyse culturelle et de l’histoire
contemporaine. Walter a publié les œuvres complètes de C.G. Jung. L’OMBRE
DU DALAÏ-LAMA a donc paru en compagnie de classiques internationaux. Les
auteurs possèdent tous les droits étrangers.
Note de lecture du livre
l’ombre du Dalai Lama
Un couple d’intellectuels autrichiens (résidant en Allemagne) a
signé un document de plus de 800 pages (paru en allemand en 1998) qui
pourrait bien, depuis qu’il est disponible en texte intégral sur Internet
dans sa traduction anglaise, faire l’effet d’un électrochoc sur la
génération X.
Après la mode du nouvel âge des années quatre-vingts, les quadras, les quinquas et les
sexagénaires d’aujourd’hui s’étaient en quelque sorte repliés sur le
message et le sourire du dalaï lama comme une
alternative possible aux désillusions des idéologies et de leurs doctrines
en « isme » (christianisme, marxisme,
maoïsme, situationnisme, etc.) Ce livre essentiel pourrait ainsi signaler,
voire précipiter le déclin de la mode du tantrisme bouddhique d’origine
himalayenne et des enthousiasmes, des attentes et des illusions que cette
vague avait suscitées en Occident. Décodant méthodiquement la mythologie du
dalaï lama, sans jamais céder aux tentations de
l’amalgame, c’est toute la structure du lamaïsme en Occident qui par un
effet de dominos, pourrait ainsi commencer à être exposée pour la première
fois à un véritable examen.
Cet ouvrage délivre
un choc à sa lecture, quelque chose d’absolument nouveau qui n’a pas d’égal
dans des publications sur le bouddhisme
souvent redondantes et plus complaisantes, car issues à l’intérieur même de
ses spiritualités.
Dalai
Lama et Bouddhism tibétain
Le bouddhisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son
plus haut représentant, le Dalai Lama, n’est pas
un saint. Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Dalaï Lama prix Nobel de la Paix.
Selon Herbert et Mariana ROETTGEN (de Munich),
experts en études culturelles, le Dalai Lama, au
lieu d’être le véritable champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système
religieux dont le but est de conquérir le monde.
Pendant les années 80, Herbert Roettgen
faisait partie du groupe de soutien allemand au Dalai
Lama. Il publiait ses écrits et organisait ses meetings. Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du
dialogue inter-religieux.
Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude
critique sur l’arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain.
Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de
Victor et Victoria Trimondi sous le titre "L’ombre du
Dalai Lama"
Les
dessous de la visite du Dalai Lama
Le Bouddhisme tibétain est donc apparemment sans
arrière pensée. Sauf que les propos de deux anciens collaborateurs du Dalaï (Herbert et Marianna Roettgen)
nous laissent perplexes. Experts en études culturelles, ils dévoilent, dans
« L’ombre du Dalaï Lama », un livre choc publié
en Allemagne en 1999 sous les pseudonymes de Victor et Victoria Trimondi, le véritable dessein du personnage, celui de
conquérir le monde.
L’histoire secrete des
dalai lamas
Dès lors, on peut dire qu'en 2009, rien n'a
vraiment changé au pays des lamas tibétains et que certains - des brebis
galeuses - s'égarent. Si ce n'est que des femmes comme June
Campbell et des chercheurs comme Victor et Victoria Trimondi
osent briser la loi du silence imposée par les propagateurs du Tantra du Kalachakra. (p.135)
Les larmes du bouddha
La violence des attaques du couple Trimondi contre les grands initiés de Kalachakra et leur hiérophante suprême, le dalaï-lama
lui-même, fit rapidement s’effondrer le mythe du bouddhisme pacifique. La
charge était imparable, les Trimondi connaissent
parfaitement les arcanes les plus occultes du lamaïsme.
Des temples – pas si
accueillants
Comment expliquez que dans vos séminaires de
bouddhisme les lamas présentent les Trimondi
comme des malfaisants ? Ils se sont éveillé tout comme votre bouddha
après 12 ans d’allégeance à votre SS Dalai Lama
pour finalement voir que cette voie était sans issue. Il ne s’agit pas de
détester, il s’agit de démasquer.
Bhouddanar
Les lamas d’affaires redoutent davantage le site des Trimondi que mon
blog Bouddhanar. Les Trimondi, des chercheurs autrichiens, révèlent la partie
cachée de l’iceberg du lamaïsme. Tout cela dépasse l’entendement de
beaucoup de gens. Dans la France profonde, il est préférable de se
contenter du sketch des Inconnus, c’est plus drôle.
Shoko Asahara, exterminateur au nom
de Shambhala
Quelques
années plus tard, le 20 mars 1995, le même Shoko
Asahara, gourou de la secte Aum, et surtout
psychopathe ayant l'intention d'anticiper à sa manière la vision
apocalyptique de Shambhala, fera gazer au sarin
de sa propre initiative les passagers captifs du métro de Tokyo. L'attentat
entraîna de nombreuses morts et de très nombreuses intoxications (environ
5500) dans ce qui devait s’avérer l'une des plus grandes catastrophes
contemporaines en relation avec une secte. La photo ne figure pas dans l'album
souvenir de Sa Sainteté sur son nouveau site www.dalailama.com, mais est reproduite en
revanche dans le livre électrochoc de Victor et Victoria Trimondi "The Shadow of
the dalai Lama" qui consacre tout son
chapitre XIII (Deuxième partie de l'ouvrage) à cette question: http://www.trimondi.de/SDLE/Part-2-13.htm
On
découvre dans le chapitre sus-mentionné, précis
et documenté, les liens qui unissaient, avant le drame, Sa Sainteté le Dalaï Lama et Shoko Asahara,
(même si bien entendu Sa Sainteté n'avait pas la moindre idée de la
dangerosité future et des projets funestes de ce dernier). On peut suggérer
à chacun qui lit l'anglais de découvrir en intégralité le chapitre XIII du
livre des époux Trimondi http://www.trimondi.de/SDLE/Part-2-13.htm pour s'en faire une
idée précise et informée. En particulier il semble que les deux hommes se
soient rencontrés cinq fois à partir de 1987 si l'on en croît aussi le
magazine Stern (36-95, p.116-117).
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